Sa musique est intense, bohème, séductrice, provocatrice et impulsive.

La musique est sa vocation. Steve Tallis commence à jouer en 1962. Bercé dès sa naissance par la musique de ses ancêtres macédoniens et la musique ethnique grecque, yougoslave, bulgare et turque, Steve découvre dès son plus jeune âge les rythmes de trance, l'improvisation et le chant lors de piques-niques et de bals traditionnels. Il se met à écouter la radio, des types comme Bob Dylan, Them, Animals, Rolling Stones, Manfred Mann et Jimi Hendrix, qui l'incitent à partir à la recherche des racines du blues, pour en arriver à sa source, l'Afrique.

Les journalistes l'appellent "le griot australien" (Black Routes), "le shaman du blues" (West), "l'un des plus excentrique et saisissant songwriter d'Australie" (The Age), "l'un des plus unique, original, créatif et fascinant songwriter du monde" (Glitterhouse), "un hippie en colère" (Fly Global Music Culture). Lui, décrit sa musique comme étant du tribal folk blues teinté de gospel...



Steve Tallis a vécu et joué aux Etats Unis, en Afrique de l'Ouest, en Europe et en Asie – accompagnant les plus grands noms de la musique comme Bob Dylan, Van Morrison, BB King, Eric Clapton et bien d'autres.... Inspiré et influencé par Leadbelly, Bob Dylan, John Coltrane, Tim Buckley, Captain Beefheart, Tom Waits, Blind Willie Johnson, John Lee Hooker, Hamza El Din, Ali Farke Toure, Van Morrison, Bauls of Bengal, Howling Wolf and the field recordings of Alan Lomax.
Les musiques africaines, indiennes, haïtiennes et arabes ont aussi toujours eu une influence spirituelle et rythmique sur son travail. Ses disques et tout ses lives sont bercés par son amour du blues, du gospel et de l'a capella.

Les ambitions de toute une vie prirent forme lors de tournées en Inde (en 1997), au Pakistan (en 2003) et en Afrique de L'ouest – Ghana – (en 2005), la découverte et l'exploration du vodoo, du bouddhisme tantrique, du soufisme, de la bible, de l'hindouisme et la spiritualité des aborigènes et des indiens d'Amérique l'ont profondément touché. Steve est passionné par l'existence de la transcendance, par la géographie, par la synergie des métissages culturels et les limites qu'elle impose.

Fervent défenseur des échanges culturels et musicaux, son blues est considéré comme trop déconcertant pour les puristes du blues, trop blues pour les puristes de la world musique et trop world pour le monde du rock et de la pop...