Electre des bas-fonds Théâtre du Soleil - Petite salle - La Cartoucherie Affiche

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Salle
où cet événement eut lieu :
Théâtre du Soleil - Petite salle - La Cartoucherie, 75012 Paris

Electre des bas-fonds

de Simon Abkarian , mis en scène par Simon Abkarian

Théâtre du Soleil - Petite salle - La Cartoucherie, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

En ce moment dans cette salle :


Critiques de la presse



" L'auteur appose à la tragédie antique un regard d'homme contemporain. On se coule dans son récit, porté par une langue riche et incarné par une troupe d'acteurs au diapason. "

" Instead of turning to the work of the Greek playwright Aeschylus, Sophocles or Euripides, who all tackled Electra's story, Mr. Abkarian has opted to rewrite it entirely. Happily, his version feels at once old and new, in good part thanks to the dance and music seamlessly woven into it. "

" Quelle langue ! Charnue, colorée, sensuelle et assassine... Quelle danse ! Chorale et endiablée, rythmée tout au long du spectacle par le trio Howling' Jaws, tout ensemble rock et blues... Fabienne Pascaud "

" Lne levain de ce drame, revisité par un nouveau regard , tient au texte, à sa réécriture si particulière, à sa tonalité d ' âpre mélopée, combative et simplement qui touche au coeur. F.ROUSSEL "

Un fauteuil pour l'orchestre " L'auteur transforme la tragédie grecque en véritable épopée sociale et féministe sans rien perdre de sa puissance originelle. La table est dressée sur l'arène de la Cartoucherie, Simon Abkarian et sa famille de saltimbanques vous attendent, ne les ratez pas ! "

Foud'art " Simon Abkarian, avec un texte sublime, a créé un spectacle aussi magnifique que généreux, aussi noir que lumineux Une tragédie démesurée, épique et excessive. Un spectacle éblouissant, populaire et féministe. "

La Terrasse " ...ce spectacle merveilleux emporte et subjugue autant l'esprit que le coeur. Un chef d'oeuvre qui reste en mémoire, dans l'écrin exceptionnel du Théâtre du Soleil. Agnès Santi "

Télérama Sortir " Inspiré comme jamais, il livre un spectacle d'une beauté visuelle permanente où les tableaux s'enchaînent sur fond de danses réglées au détail près. L'auteur appose à la tragédie antique un regard d'homme contemporain. Joelle Gayot "

La Vie " On est emporté par la langue puissante et imagée, teintée d'une verve populaire, les danses baroques carnavalesques, les chants douloureux de mélancolie et les rythmes entêtants du trio de musiciens rock. Une fresque flamboyante, au ton juste,sur la violence du monde. "

Le Canard Enchaîné " La musique ordonne le tout. Les coeurs se multiplient, choeurs de danseuses sacrées, d'hommes, de prostituées. les apparitions de Rafaela Jirkovsky font vibrer. J.-L.P. "

Le Quotidien du Médecin " Beaux costumes, belles lumières. Chorégraphies très bien réglées. Scènes d'ensemble, scènes intimes, destins tragiques et moments de paix. C'est le jeu d'ensemble qui compte ici, la sincérité fraternelle qui lie des interprètes venus d'horizons différents et qui nous touchent. "

Les Echos " L'homme de théâtre a réécrit la tragédie grecque à sa façon, humaniste et rebelle. Avec des acteurs soudés, un choeur de danseuses et de prostituées, trois musiciens de blues rock déchaînés, son " Electre des bas-Fonds " fait tanguer le Théâtre du Soleil. Philippe Chevilley "

Mediapart " Chez Simon Abkarian, la fable vient de l'imaginaire des mots prolongés par la musique et la danse. Est-ce le Mexique qui a éveillé en lui l'action de sa mise en scène, le jour de la fête des morts ? Quoi qu'il en soit, cette proposition est mémorable pour l'esprit théâtral. "

La Terrasse " La fable que Simon Abkarian choisit de raconter est une histoire impressionnante de chair et de sang, de souffrances et de vengeances, où comme toujours il rend justice aux femmes. Agnès Santi "

L'Humanité " un spectacle ô combien brillant, d'une plastique infiniment chatoyante, dans lequel se mêlent hardiment une écriture de pleine maîtrise, les artifices superbement maîtrisés du fard et de la danse, du chant et des masques (ne sommes-nous pas au Soleil ?) "