Voyage en territoires perdus

-Captivant
j'ai été captivée par la richesse du texte, sa profondeur, la performance de l'interprète qui a l'art de faire revivre la cité Olivier de Serres. On est dans le vécu. Le talent de Xavier Berlioz m'a fait passer de l'état de spectatrice à celui d'une Villeurbannaise résidant dans son quartier d'enfance. Ne laissez pas passer cet évènement, les plus belles pièces ne sont pas forcément celles qui disposent de beaucoup de moyens.
# écrit le 05 Février

-Sensible et puissant
Un seul-en-scène sensible et merveilleusement incarné, un texte puissant porté avec une immense sincérité par Xavier Berlioz. Servi par une création sonore subtile et intelligente, "Voyages en territoires perdues" donne à voir, loin des clichés, une cité éternelle, vivante et généreuse... Une cité-refuge, une cité que nul ne peut détruire à part soi-même : celle de l'enfance qui vit en chacun. A voir absolument. Pour rêver et se perdre avec bonheur dans ses propres souvenirs.
# écrit le 03 Février

-Un voyage à découvrir
très beau spectacle de Xavier Berlioz dont le texte, délicat et sensible, nous touche au coeur. Son interprétation est puissante et il nous embarque dans son enfance avec malice, on savoure avec lui ce voyage dans un territoire pas si perdu que ça
# écrit le 02 Février

-Un voyage vibrant
le comédien, xavier berlioz, nous emmène dans les méandres de sa jeunesse. Villeurbanne, les années 80, l'insouciance de l'enfance et la découverte d'un monde nouveau.. cela nous rappelle un peu notre enfance et avec nostalgie sentir que le temps passe terriblement. Moment poétique , vibrant, sensible et aussi drôle. Hôlderlin disait : "Les poètes seuls fondent ce qui demeure". Ils sont toujours présents.
# écrit le 31 Janvier

-Puissant
Un seul en scène nous faisant voyager dans les yeux d'un homme nous racontant sa jeunesse, son quartier, son monde... Beau, puissant et sensible ! Très bon moment !
# écrit le 14 Février

-et quel beau voyage
Un acteur, des souvenirs, une vie qui se déroule... tout est là grâce au texte, au son, à un acteur qui fait naître toutes les images devant nous. C'est un monde qui disparaît au fur et à mesure qu'il apparaît sous nos yeux, furieusement vivant. Bravo
# écrit le 30 Janvier

-Voyage nostalgique, critique, poétique et énergique !
Un grand BRAVO pour cette performance !! Un seul en scène endiablé qui retrace ces dernières décennies au travers de la lucarne d'une expérience de vie qui résonne en nous, et nous fait raisonner ! En passant par toutes les émotions ! Un grand merci et un grand bravo !
# écrit le 30 Janvier

-une invitation au voyage
j ai été conquis par ce spectacle, la performance de l acteur, sa générosité, la précision du texte laisse une énorme place à notre imagination ... on n'est plongé chaque minute dans cette épopée urbaine. ... courez y !!!!!!
# écrit le 30 Janvier

-Très beau texte très bien joué
Il n'y a pas besoin de beaucoup de moyens pour pénétrer visuellement dans la cité Olivier de Serres, tant le texte est poétique et imagé; Xavier Berlioz raconte l'enfant qu'il a été dans les années 70 dans un quartier de Villeurbanne qui a été rasé. Le propos, universel, évoque avec sensibilité le regard d'un enfant qui grandit dans une urbanité inhospitalière, mais auquel il est attaché faute de mieux. C'est une pièce très bien écrite et très bien jouée.
# écrit le 06 Février

-Sous les décombres l'enfance
La scène dénudée est comme le terrain vague vidé de ses tours, celles de la cité Oliver de Serres à Villeurbanne. Seul, porté par un texte poétique et engagé, le comédien ressuscite ses fantômes (et les nôtres), ceux de son enfance, dans un quartier aujourd'hui disparu, et pourtant si vivant dans les âmes de ceux qui l'ont connu. Qu'est-ce qui s'effondre quand on grandit ? Que font de nous les lieux que nous habitons, et nous d'eux ? Entre fantasmes délirants de l'enfance, des personnages décalés, attachants, au milieu de ces tours quasi mythiques (sont-elles vraiment détruites ? ), ce spectacle donne à voir la puissance du souvenir, de l'évocation, et du théâtre. Foncez !
# écrit le 01 Février