... Et voilà que les lattes de bois s'envolent ; nos personnages se re­trouvent sur des chevaux galopant vers un premier baiser.
Frisson et coup de tonnerre dans le ciel !

On chante, un peu, on pleure, un peu, en découvrant l'histoire de cette petite choriste, humilié et rackettée par une mystérieuse dame, "pâle et belle, qui s'exprime comme au théâtre!"
On soupire en écoutant ce jeune homme désespérément amoureux d'une femme mariée ; on se promène avec eux dans la forêt.
Les oiseaux chantent autour de nous et, quelque part, un train passe, pour nous rappeler qu'on peut toujours partir.

Partout, de petites lueurs scintillent, dispersées comme nos pensées, "et leur orientation unanime vers un but lointain demeure obscure, et, sans dissiper les ténèbres, elles s'évanouissent au terme de notre existence... "