Une assemblée de femmes, lasses de voir leurs maris guerroyer en permanence et de les laisser dormir seules, se déguisent en hommes, s'octroient les pleins pouvoirs, se moquent des philosophes et font la grève de l'amour jusqu'à ce que leurs petits garçons de maris restent à la maison.

Cette pièce, puisée dans un classique, est adaptée, dépoussiérée, édulcorée pour en raviver des thèmes éternels dans un texte tour poétique ou grivois.

3 hommes, 3 femmes dont le jeu est réglé comme une partition de musique, se livrent à une sorte de ballet emblématique où les anachronismes sont nombreux et les musiques variées (Vartan, Greco, Piaf, la Bella Ciao par Comelade).
Un grand éclat de rire du début à la fin.

Adaptation et écriture d'après "l'Assemblée des Femmes" et "Lysistrata" d'Aristophane