Ils sont passés ou vont passer dans cette salle

Un pied dans la tradition, l'autre dans la modernité. Voilà ce qui pourrait définir le style de Kenny "Blues Boss" Wayne.

C'est au géant du R&B King Curtis, disparu en 1971, que les Pi-Honkers entendent rendre un hommage percutant.

Take 3 est né en 2003, mais les trois compères jouent ensemble depuis 1997. C'est dire si le groupe est soudé.

La silhouette de Boney Fields est familière aux noctambules parisiens. On le reconnaît d'abord à son chapeau melon et aux dreadlocks qui s'en échappent.

Sophia Nelson n'a pas son pareil pour entremêler la soul et le funk, sans oublier la sophistication d'un jazz illuminé de quelques touches latines.

Avec Magic Slim, la scène du Jazz Club va prendre des airs de juke-joint du West Side de Chicago.

Influencé à l'origine par Otis Spann ou Amos Milburn, Julien Brunetaud a depuis considérablement élargi son horizon musical, de Horace Silver à Thelonius Monk, sans rien renier de son passé.

Les sixties sont de retour avec ce groupe qui a si souvent fait rocker et twister le Jazz Club

Héritier des petites formations popularisées par Jimmy Smith ou Jack McDuff, ce quartet détonnant propose une musique à la croisée du blues, de l'Afrique et du jazz.

Depuis que Kicca et le trio Intrigo ont élu domicile dans l'Hexagone, ils n'ont cessé de bousculer les scènes françaises