Venue d'ailleurs une vieille caravane rafistolée fuit vers le bout du monde posée là sur la place, comme abandonnée, elle semble tout droit sortie d'un décor de Marc Caro ou Tim Burton.
L'action se déroule au rythme d'une fête digne d'Emir Kusturica, les disputes deviennent chant, l'accordéon pleure comme un vieux gitan, mais le rire l'emporte toujours sur la misère...