Minou
En 1ère partie : Hollydays

Du persuasif " Montréal " au malicieux " Pense à moi ", il coule dans les veines de Minou autant de discrète poésie que de refrains tenaces, une fragile combinaison réclamée des chéris Girls in Hawaii, Stone Roses et autres Michel... Polnareff évidemment !
En deux ans d'existence, le duo de Blois a déjà largement baladé son museau aux quatre coins de la France avec déjà plus de 80 dates, du Printemps de Bourges (scène SFR) aux Rockomotives de Vendôme en passant par les Bars en Trans et Paris.

Lauréat du dispositif d'accompagnement région Centre Le Propul'son, ils ont depuis été repérés par les Inrocks Lab (coup de coeur du jury en 2015), lauréats du programme du SFR le Fair en 2014 et gagnants de Esprit Musique Caisse d'Épargne en 2013.

Plus récemment, Pierre et Sabine ont réalisé le remix du titre " Londres - Paris ", de Rivière Noire, en duo avec Sylvie Hoarau (Brigitte). A l'occasion de leur prestation le soir des Victoires de la Musique, Rivière Noire (lauréat de l'album musique du monde) a invité Minou à se produire sur la scène du Zénith, pour jouer les claviers du remix. Un remix ajouté à la réédition de l'album de Rivière Noire.
MINOU prépare la sortie de son EP " Besoin d'un renouveau brutal ", grâce au soutien de la SACEM, dans le cadre de l'aide à l'autoproduction. Les deux premiers extraits, " Un hiver à Juneau " et " Pense à moi ", sont toujours à découvrir sur leur soundcloud.

En 1ère partie : Hollydays
On aime les chansons, celles qu'on chante comme ça sans raison, des refrains entêtants qui parlent de nous, de toi, des autres, ceux que tu chantes en choeur dans la foule avec ton voisin. Car finalement on veut tous la même chose : partir au Brésil sur un coup de tête, faire l'amour sur des plages désertes, se moquer de tout, se moquer de nous.
Être libres d'aimer deux, trois, douze personnes, de chanter dans un garage, dans la rue, dans la douche, de ne pas sortir le soir ou de ne pas se coucher. De quitter la banlieue, de quitter la province, de quitter Paris. Libres d'inventer des mots, de s'appeler Hollydays parce que c'était l'année des h, et que papa était bûcheron. Libres de l'écrire comme on veut parce que Madonna l'avait déjà pris. Libres de créer nos propres vacances.