Y'a t-il quelqu'un pour sauver Yann Stotz ? Non ? Ouf... ! Ce téléphage averti, désaltéré au petit lait cathodique, il faut surtout le laisser tel qu'il est.

Avec pour mère nourricière : les Monty Python et pour père carnassier : Franky Sinatra.

Un cocktail d'humour odieux-visuel avec un zeste de jazz à tous les étages.
Une sorte de mélancomique autant éclectique qu'électrique. D'un swing endiablé à une parodie des "Feux de l'Amour", il s'envole dans un absurde incontrôlé.

Ses ailes ne l'empêchent pas de rêver ni de nous couper aux éclats de son rire toujours en V.O. avec un spectacle drôle, drôle, drôle, aux accents modernes du music-hall, ce type-là est enfantastique.

Le Saviez-vous?
Yann Stotz participe à des shows de Florence Foresti et de Franck Dubosc. Son style original, mélangeant volontiers les genres et les figures, séduit le public mais désarçonne les professionnels qui ne savent pas bien dans quelle catégorie ranger cet énergumène tellement doué. Fan absolu des Monty Python, de Franck Sinatra et de Jerry Lewis, cet amateur de musique et de chanteurs oubliés, chante à merveille, danse, joue de la musique, fait du mime et parfois des imitations sur scène. Ainsi, sa parodie de James Bond est un numéro purement visuel.

En fait, Yann Stotz est un artiste complet, véritable entertainer qui n'aime rien tant que faire le show au sens noble du terme. Roi des métamorphoses spectaculaires, Yann Stotz éprouve une joie enfantine à se déguiser pour se fondre dans des personnages campés avec une précision toujours diabolique : René Angelil, Gilbert Rozon, Karl Lagerfeld, Michel Sardou, Gérard Lenorman, Bernard Lavilliers, un frère Bogdanoff... Yann Stotz n'imite pas, il devient.

Un artiste que vous pouvez déjà voir régulièrement sur le petit écran, notamment en duo avec Cécile Giroud (dans les émissions de Patrick Sébastien entre autres).