Contes polaires, sur les ressources du monde animal, la force et la fraternité...
Une amulette patiemment sculptée se tient bien au chaud dans le cou de Akivik. La petite figure veille sur la vie et sort parfois du cou qui l'abrite quand il y a une menace. Le garçon chevauché de sa protection se transforme et tout se métamorphose à travers son chant...

Akivik guette avec les hommes le vol des oies sauvages, le printemps qui est là. Ils se racontent la grande fraternité de Tuktu le caribou et de Aiviq le morse qui ont la même mère. Les esprits qui viennent jouer avec les enfants... Ils racontent les défis, les métamorphose. Comment "Celui qui était déjà presque un homme" a courageusement retrouvé la vue !

Un hymne joyeux et grave à la vie sauvage où hommes et animaux partagent la même langue.