La madone des poubelles

une drole de pièce à l'ambiance "poisseuse"... les rencontres entre les personnages évoquent les passes du tango : sensualité apparente,et inhumanité en dedans. Le récit s'étire comme une agonie étouffante,pour mener au drame final. Mention spéciale au comédien jouant le rôle du père,sidérant en crapule qui perd le controle de ses propres machinations. Dommage que l'intention du metteur en scène ne soit pas perceptible : a t il voulu faire le portrait d'une héroine prostituée qui découvre son propre destin ? ou est ce une tentative de créer un drame hyper réaliste au theatre? le spectacle oscille entre 2 eaux et le spectateur aussi; malgrès la qualité de l'ensemble,on en sort avec une impression "mi figue,mi raisin.

une excellente mise en scène de jacques lassalle pour cette pièce très sensuelle (qui rappelle par moments lolita de nabokov ) dans les faubourgs de buenos aires.excellent interprétation très convaincante et bon accueil du théâtre.

Superbe interpretation des comédiens qui nous transportent à Buenos aires au début des années 2000...tango extra... Décor éclectique.Une belle performance. Jacques Lassalle ré enchante l'ordinaire...

Beau et intéressant spectacle ; des personnages attachants, des comédiens habités, le thème de l'amour rédempteur et impossible, l'illusion du sauveur aussi dans ce contexte social. Un grand merci à chacun et à Billetréduc

De fait, cette pièce rappelle les actualités qui occupaient les "brèves étrangère" - section Amérique du sud d'il y a une dizaine d'année ; et une relecture de Lolita. Cela provoque un curieux mélange... à même de laisser dubitatif. Les acteurs interprètent leur rôle avec conviction mais au bout de 15 minutes le spectateur sait bien comment cela va se terminer. Je comprends le désenchantement de certains spectateurs car, à moi aussi, la pièce a semblé un peu longue.

2h et demie d'ennuie interminable, le sujet inintéressant et le seul envie: partir d'ici! Ce qui a fait d'ailleurs une partie des spectateurs. Pendant toute la durée de ce spectacle, je me rappelait les paroles d'une vieille chanson: Quand on est con, on est con! C'est le héros de cette pièce qui me faisait penser à cela : il s'y prend si mal, si mal, même Don Quichot était meilleur avec les moulins que ce pauvre Français épris d'une fille au passé, présent et l'avenir fortement douteux. Du coup, tout intérêt de la pièce tombe à l'eau malgré la qualité du jeu des acteurs (à qui il faudrait dire: Bravo!). Et en plus, c'est si long, long, long... Franchement, je n'ai pas adhérée du tout.