L'allégresse de la pièce puise sa source dans les souvenirs d'enfance du chorégraphe, entre une grand-mère catalane et une mère danseuse de flamenco. En scène, les confrontations du récit se font battle intrépides et malicieux défiant la peur et le repli sur soi, invitant joyeusement au métissage créatif, la seule langue artistique qui se pratique sur les plateaux de José Montalvo.

Carmen torö, torô, torõ porte l'espoir inconditionnel et fécond de la liberté. La pièce est revisitée par le souffle espiègle d'une version à hauteur d'enfants, où chacun, petits et grands trouveront la force et l'allant d'une vision humaniste de la vie, notre part lumineuse. La contribution participative du public avec les interprètes en scène décuple ce sentiment de bonheur commun à chaque représentation.

Chorégraphie, scénographie, conception vidéo : José Montalvo.
Assistante à la chorégraphie : Joëlle Iffrig.
Assistant à la chorégraphie flamenco : Fran Espinosa.
Musique : Georges Bizet.
Costumes : Sheida Bozorgmehr.
Scénographie, lumières : Didier Brun, Vincent Paoli.
Son : Pipo Gomes.
Collaborateurs artistiques à la vidéo : Sylvain Decay, Franck Lacourt.
Infographie : Sylvain Decay, Clio Gavagni, Michel Jaen Montalvo.
Chefs opérateurs : Prune Brenguier, Daniel Crétois assisté d'Andrès Gomez Orellana.

Production Maison des Arts de Créteil
Coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse / Les Théâtres de la ville de Luxembourg / Théâtre de Caen / Festspielhaus St. Pölten.
Action financée par la Région Ile-de-France.