Un pingouin c’est un ange qu’on a oublié un peu trop longtemps au frigo ». Le ton est donné, nous sommes bien en Turakie et notre guide sera Michel Laubu dont le Théâtre de la Cité internationale a accueilli les plus folles propositions.

Les pingouins ont quitté la Turakie pour l’Épaule Nord, ils ont trouvé une maison de retraite, une sorte de grande couveuse où on peut mettre ses œufs à l’abri, où des bonnes sœurs en prennent soin jusqu’à l’éclosion. De ces œufs vont naître des vieillards mi-anges, mi-pingouins. Et tout cela dans un décor inversé où la banquise est devenue plafond pour nous faire voir le monde à l’envers.

Rêverie poétique et loufoque animée par huit comédiens manipulateurs d’objets et de marionnettes et deux musiciens.