9ème festival Brassens

Martial, ce "baladin des chemins de traverse" (Albert Weber dixit) et sa guitare ont fait les premières parties d'Henri Tachan ou Allain Leprest entre autres puis, en plus de ses propres compostions, Martial interprète Brassens, Boby Lapointe, Boris Vian ou Pierre Louki.

Jean-Claude a commencé par reprendre le répertoire de son père, lui-même chanteur (Fréhel, Mistinguett, Georgius) avant de déclamer des textes de Bruant, Bernard Dimey ou Prévert. Depuis 2015 il s'accompagne à l'orgue de barbarie, instrument parfaitement adapté au répertoire des cabarets montmartrois. Un spectacle euphorique !

Cheval 2 trois

Comme leur nom l'indique... ils sont quatre ! Claudine Marc, chanteuse au timbre chaleureux qui vous prend "aux tripes". C'est son époux Benoît qui lui a fait "découvrir" Brassens, pour notre plus grand bonheur puisqu'elle l'interprète à merveille.

Benoît Marc, auteur-compositeur, chanteur et guitariste forme avec Claudine un duo d'amoureux dont la joie de vivre et la sensibilité sautent aux oreilles dès les premières notes.

Le trio s'est constitué avec Jorge Delgado, madrilène, lui aussi auteur-compositeur. Il nous régalera, entre autres, de quelques interprétations de Brassens en espagnol. Et un "invité" : Juan Manuel Cortès, compositeur et percussionniste qui apporte des arrangements en pur style flamenco dont il est un spécialiste. Ne manquez pas cette approche originale autant que savoureuse des chansons de Georges. Et, comme le dit Benoît : "si vous n'avez plus la foi, Ensuès la Redonne !"