Se faufilant entre les répertoires de Grèce et Turquie ou des Balkans, ce trio composé par Clémence Gabrielidis (voix), Nils Kassap (clarinette, clarinette basse) et Thomas Lauret (voix, violon, guitare) fait briller toute la richesse des musiques modales d'Europe orientale.

Entre musique pop et traditions populaires, une voix mélodieuse plonge l'auditeur dans un vagabondage sorti tout droit de la Bande Originale d'un des films de Tony Gatlif.
Vieux comparses s'étant rencontrés à la fac autour de la musique traditionnel turque et balkanique, ayant déjà eu divers projets ensemble, Nils Kassap et Thomas Lauret créent Kafé Gáta dans le but de créer un répertoire mêlant cette pratique des musique traditionnelles avec leur goût pour les musiques actuelles comme le rock ou le métal, le tout dans une ambiance de bar où l'on échange moments de vie et autres boissons 'modérément' alcoolisées.

Invitant tout d'abord la chanteuse et oudiste Mélina Vlachos à ce projet, c'est ensuite Clémence Gabrielidis qui prend la relève. Le trio fait la première partie de David Krakauer au Café de la Danse – Paris en mars 22 et est programmé aux Suds, à Arles en juillet 22.

Il sort en novembre 22 son premier EP qui fera partie d'un diptyque dont le deuxième EP sortira en septembre 23. Il a choisi pour ce diptyque 12 morceaux issus des répertoires traditionnels grecs et turcs.

Le diptyque se nommera d'ailleurs en référence au tout premier morceau du premier EP "Aneva Sto Trapezi Mou", chanson de bar "Ferte na pio" (qu'on m'apporte à boire) pour le premier EP "Na ximerotho" (qu'on me réveille) pour le deuxième EP.