Roberto D'Olbia dans Piano story
Casino de Paris

Pianiste virtuose, comique chanteur imitateur et comédien, Roberto d'Olbia offre à son public un spectacle d'humour fou fascinant truffé de surprises. Pur enchanteur mêlant sans complexe tous les genres musicaux, sa virtuosité pianistique et son don de l'improvisation font de lui un artiste hors normes salué dans le monde entier. Ses prouesses vocales mêlées à l'humour et la tendresse qu'il déploie vers son public le rendent aussi attachant qu'irrésistible. Venez déguster les mille et une notes de Roberto !

"Ma passion et ma vocation c'est d'abord et avant tout la musique dite "classique". Je ne la renie pas, je ne la trahis pas, je ne commets envers elle aucun sacrilège. Au contraire, en invitant le public à rire avec elle et avec moi, j'ai aussi l'impression de la rendre accessible à un grand nombre de gens auxquels jusqu'alors elle paraissait hérmétique, inaccessible. (...) A peine un spectacle rôdé et "sur les rails" que je suis déjà orienté sur un autre. J'aurais pu tourner encore quelques années avec le "Dresseur de Pianos", revenir à Paris avec le même programme, mais j'ai perpétuellement besoin de me renouveler et de créer... Enchainer et projeter sur une scène l'Histoire du piano (Piano Story) c'est en quelque sorte ma façon de rendre hommage à ce sublime instrument et à ses Artisans.Parfois j'y suis sérieux parfois je fais le pitre en passant par Bach, Mozart, Beethoven, Chopin, Liszt, Scriabine, Rachmaninoff, Ravel, Debussy, Gershwin, Bartok, après, à quelques exceptions près, cela devient trop dissonnant alors j'aborde le jazz et la variété internationale et française où je me sens tout à fait à mon aise... et mon public aussi! On y retrouve les Beatles, Elton John, Freddy Mercury, Gainsbourg...Il y a aussi beaucoup d'improvisations dans ce spectacle.On croit souvent que l'impro caractérise le jazz or tous les grands compositeurs ont improvisé pendant des heures en créant puis même en concert. La musique n'est jamais figée et le public n'est jamais le même.

Malgré tout, pour cinq secondes sur scène, je vais tatonner pendant cinq heures. Chaque spectacle exige de moi davantage de travail et de persévérance."