La permission de dix heures : opéra-comique en un acte de Jacques Offenbach(1873).

La jeune Nicole est éprise du fringant militaire Larose Pompon, mais sa tante, Mme Jobin, jeune veuve et marchande de passementerie, refuse que Nicole se marie avant elle.
Larose Pompon imagine donc un stratagème pour trouver un mari à Mme Jobin.
Et pourquoi pas Lanternick, son sergent, brave Alsacien un peu empêtré dans son "diable d'accent circonflexe", qui souhaiterait faire une "betite gonnaissance" ?
Mais si la nuit est favorable aux amours et aux intrigues, elle nécessite de la part des autorités militaires une "permission de dix heures" bien difficile à obtenir pour nos deux soldats ...

Depuis sa création en 1997, la compagnie des Délassements Comiques s'est donné pour objectif de présenter au public des oeuvres du répertoire lyrique oublié ou méconnu du dix-neuvième siècle. C'est encore le cas pour cette opérette de J. Offenbach, sur un livret de Mélesville et Carmouche, représentée pour la première fois à Paris, au Théâtre de la Renaissance, le 4 septembre 1873.

En lever de rideau : le Baiser à la Porte, opérette de salon de Charles Lecoq (1864).

Enfin un client pour Maître Robin, jeune avocat sans clientèle. Bien plus, deux le même jour !
Cette aubaine va pousser le couple Robin au bord de la rupture, mais un heureux dénouement interviendra devant leur porte d'entrée ...