Sur les pas du "Neveu d'Amérique", des histoires pour ne pas oublier, des "Histoires pour vaincre l'oubli". Des histoires, avec l'amour en fil rouge, à la cadence d'un roman policier.

Sur fond d'Amérique Latine on y parle d'amour, d'idéal, de convictions, de justice, d'errance des âmes et des êtres, de quête humaine. L'humour n'est jamais loin...
L'amour toujours présent.
Des masques, quelques poupées de chiffon et divers accessoires sont au rendez-vous, seuls compagnons de scène de Luis Jaime-Cortez dans un espace vide.

Les quatre textes choisis ont en commun leur origine latino-américaine et racontent l'histoire d'une époque bien précise : la fin du vingtième et le début du vingt et unième siècle. Ces années là, en Amérique du Sud, des pays comme le Chili et l'Argentine, connurent des bouleversements sociaux et politiques profonds, où les idéaux d'égalité, de liberté et de justice, furent à l'origine de tragédies qui aujourd'hui encore demeurent énigmatiques, et où certains responsables sont encore entrain d'être jugés.

"Histoires pour vaincre l'oubli" rassemble des histoires sur la mémoire où la réalité est d'une telle intensité qu'elle ne pourra jamais être dépassée par la plus délirante des fictions. Mais si ces histoires nous racontent des situations limites, elles demeurent ouvertes à l'espoir et à l'amour... Sinon, dans une vie, combien des bourgeons n'arriveraient pas à devenir fleur...

Accessoires Natalia Jaime-Cortez, Masques : Den.