...du printemps

2013 est l'année du centenaire du Sacre du printemps. Pour Thierry Thieû Niang et le dramaturge Jean-Pierre Moulères, il est l'expression du temps qui passe ; du temps qui reste. Sur le plateau un homme entame une ronde qui durera le temps du spectacle.

Il donne le rythme et entraîne dans sa course vingt-cinq danseurs (de soixante à plus de quatre-vingts ans). De la marche à la course, tous se lancent dans une spirale sans fin où, dans une chorégraphie pure et envoûtante, s'expriment le temps qui marque les corps et le tourbillon de la vie. La vieillesse se montre sans complexe, affichant un corps imparfait mais si vivant !