Ses chansons sont nées au point de contact douloureux de l'Histoire et de leur histoire d'homme et de femme, pris dans la tourmente des révoltes, des blessures et des espoirs.
Cocteau qui aimait tant les chanteuses, qu'il nommait "les petites tragédiennes", aurait sûrement aimé la clownerie tragique, l'accent et le tempérament de la Prucnal.
Une adaptation, cette année d'anniversaire du cinquantenaire de la mort du poète, qui témoigne de la commune ferveur à Anna Prucnal et Jean Cocteau pour le miroir magique de la poésie de théâtre.