Baudelaire la fête étrange

Des chansons expressionnistes composées à partir des Fleurs du mal, un piano déjanté, une voix qui n'a peur de rien : avec ce nouvel opus en forme de vertige, Théophile Minuit part à la rencontre du cri Baudelairien qui ressemble au nôtre tant il contient toutes les énergies, toutes les émotions, toutes les attentes esthétiques.

Un concert comme un opéra pour une âme, un opéra en treize actes, un chemin de lumière que jalonneraient treize poèmes flamboyants.

Après deux albums studio et un parcours scénique conventionnel, il oriente son travail chanson vers des projets symphoniques et choraux.

Il devient alors orchestrateur et metteur en scène de spectacles audacieux dynamisés par le plaisir de la rencontre.

Pour ce concert au Forum Léo Ferré, il se présentera seul au piano ; enfin... pas tout à fait seul car des invités sont prévus.