Dispersion (Ashes to ashes) | avec Carole Bouquet | Les dernières Théâtre de l'Oeuvre Affiche

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Salle
où cet événement eut lieu :
Théâtre de l'Oeuvre, 75009 Paris


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Critiques de la presse



" Gérard Desarthe relève magnifiquement le défi. Il frôle la perfection dans le personnage de Devlin... C'est une fascinante Carole Bouquet qui nous promène dans les méandres de la mémoire. Redoutablement poignante. "

" Une mise en scène d'une sobriété et d'une justesse musicale exemplaires : un écrin pur et abstrait pour une Carole Bouquet magnifique, d'une beauté et d'un mystère à couper le souffle. "

" Le Devlin de Gérard Desarthe, avec une précision tranchante et une sourde tendresse, observe et écoute. Carole Bouquet, lovée sur le canapé, accrochée à son châle comme à une bouée est remarquable. Elle fait tout comprendre des pensées tourmentées de Rebecca, avec pudeur et subtilité. "

" Une mise en scène d'une sobriété et d'une justesse exemplaires : un écrin pur et abstrait pour une Carole Bouquet magnifique, d'une beauté et d'un mystère à couper le souffle. "

L'express " Carole Bouquet, dirigée au cordeau par Gérard Desarthe rencontre là un de ses plus beaux rôles. Un rôle en creux habité par la beauté de son phrasé et de son timbre, par la lumière de son visage comme lavé à grande eau. Desarthe l'a amenée, presque amoureusement, à la perfection. "

Le nouvel Observateur " Carole Bouquet, qu'on n'avait pas vue sur scène depuis quatre ans, est bouleversante dans ce rôle de femme banale rattrapée, comme à son insu, par le martyre de l'humanité. Le décor, aussi beau qu'inquiétant... l'art chirurgical et la cruauté de Pinter s'expriment à la perfection. "

Le Quotidien du Médecin " Deux comédiens de haut talent qui donnent la juste musique. Desarthe et Bouquet un grand moment de théâtre délicat et subtil. "

Journal du dimanche " Inquisiteur obstiné, précis, à la violence rentrée, [Desarthe] forme avec sa partenaire un couple pénétrant. Le jeu intérieur de Carole Bouquet, habitée de mémoire, imprégnée de souffrance, interpelle et cueille le spectateur. C'est l'art de l'exigence. "