Spectacle complet, basé sur un quiproquo mêlant l'humour, le jeu d'acteur, les situations décalées, les magnifiques chansons de Vincent Scotto et René Sarvil à travers les Opérettes Marseillaises des années 30.

Les cinq artistes ; un humoriste, 3 chanteurs / acteurs et une accordéoniste, vous offrent une heure et demie de rire et d'émotion dans un langage et une gestuelle toute contemporaine. Ils interprètent plus de 15 chansons.

Angélina et Jackie l'accordéoniste, réinventent les bals musettes, les bals Racatti des années 20 à Marseille mais dans la salle, ce soir là sont présent Tom Clarck producteur new yorkais de la Belle de Mai, François chanteur de charme de thés dansant sur la riviera et Maxime sa voisine.

Ce cabaret est une rencontre hybride entre un one-man-show et une comédie musicale, une sorte de café-concert à consommer après la plage et avant l'apéro !
"Mais au-delà des la petite histoire des opérettes, le spectacle raconte la grande. C'est un véritable voyage à travers les époques qu'il nous propose. Le temps défile devant les spectateurs qui revivent l'entre-deux -guerres entre Marseille et Paris. On traverse les cabarets sordides du Vieux Port où se côtoient vieilles tenancières, marins, prostitués et humoristes de bas étages. On prend ensuite le TGV (train à grosse vapeur) pendant douze heures pour monter vers la capitale. Là on plonge d ans l'ambiance chaleureuse et enivrante des Folies Bergères et de Montmartre où Joséphine Baker entonne "j'ai deux amour" et "la petite Tonkinoise". Après cette période de faste vient la montée du totalitarisme. Pour dénoncer la mainmise d'Adolf Hitler sur l'Europe, René Sarvil écrira, en 1939 : "Si mon cul avait des moustaches, il aurait l'air d' Adolf Hitler." Daria Golub - La Provence