La Tour de Pise

-Très beau texte
Un texte à la fois drôle et émouvant, servi par une comédienne aussi charmante qu'investie. Une pièce qil nous amène à réfléchir sur la vie...Je recommande !
# écrit le 28/07/17

-Excellent!!!
Quel texte! Quelle ambiance fine, bouleversante, universelle, douce et puissante à al fois, poétique à en mourir... Je suis encore dans cette atmosphère délicieuse... Merci mille fois à Suzanna pour sa générosité illimitée...
# écrit le 17/07/17

-BONHEUR
La Tour de Pise interprétée magistralement par Suzana Joaquim dans une mise en scène dont la poésie ne peut laisser insensible est une régal pour les oreilles et les yeux. Ce spectacle mérite d'être vu et de vivre longtemps
# écrit le 11/03/17 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-11/03/17-A la recherche de soi & du poisson-clown…
Avec Suzana Joaquim Madslay, je suis passée par plein d'émotions différentes, toutes aussi vivantes, poignantes les unes que les autres. Elle expérimente la vie avec tout un lot de questions qui en découle avec poésie, douceur. Elle pleure, rit, s'insurge, taquine, tombe amoureuse, souffre, se venge parce qu'elle souffre intérieurement, se détache progressivement de cet amour passé, s'affirme, s'effraie.... Elle vit intensément chaque moment. Les sentiments, les diverses réactions féminines et masculines, interrogations face aux difficultés de perception, aux doutes, aux peurs sont mises à nue. Elle essaye de comprendre chaque point de vue avec empathie sans jugement, de prendre les conseils des uns et des autres. Cette artiste/interprète se focalise tantôt sur les ressentis de l'amour perdu, l'amant et les siens. Elle se rend compte petit à petit que changer pour plaire à/reconquérir son amour envolé n'est pas la solution. Elle préserve les bons souvenirs dans sa mémoire, y repense en souriant et part à la recherche du poisson-clown qui lui convient et l'aimera pour elle-même. Elle devient au fur et à mesure maîtresse de sa vie. Merci pour cette dernière représentation parisienne profondément vivante et humaine.
# écrit le 12/03/17