En mai 1809, Vienne vient d'être bombardée par les canons napoléoniens.
François-Frédéric Guy, l'un des grands interprètes de l'oeuvre, inaugure l'intégrale des concertos par cette immense fresque musicale. Autre révolte, plus sourde mais non moins violente, dirigée par Douglas Boyd : la Musique pour cordes, percussion et célesta de Bela Bartók.
Cette partition unique dans l'histoire du XXe siècle ne fait allégeance à aucune esthétique.

Le programme :

Bartok, Musique pour cordes, percussion et célesta

Beethoven, Concerto pour piano n° 5 en mi bémol majeur "L'Empereur"

François-Frédéric Guy : piano
Douglas Boyd : direction

A Savoir :
Pour des raisons de sécurité, l'accès au théâtre est interdit aux enfants de moins de 6 ans