Tintagiles retrouve ses grandes soeurs Ygraine et Bellangère dans l'île où elles vivent, sous le joug d'une reine tyrannique et maléfique.
Tintagiles semble représenter une menace pour la souveraine qui tentera de le détruire malgré la protection désespérée de ses deux soeurs et de leur vieux maitre Aglovale. Un instant de répit leur est accordé, Tintagiles semble sauvé mais les servantes de la reine reviennent...

Ecrite à l'origine pour être jouée par des marionnettes, la Mort de Tintagiles renoue avec la forme contée, invitant petits et grands à partager leur entrée dans un univers sombre, parfois effrayant : car le plus célèbre des jeux de l'enfance n'est-il pas celui de se faire peur ?

Le groupe Ubürik propose ici une mise en scène respectant l'intimité et la simplicité d'une petite fable, pourtant forte de sens. Les spectateurs tout près de la scène, comme à l'écoute du conteur, voient se déployer lentement les fils de la tragédie, contemplent les personnages lutter contre l'ordre des choses...