Les quatre interprètes évoluent en effet en fonction des indications que leur fournit le public, selon son comportement physique et les messages qu'il délivre par smartphones interposés. Les corps sont de la sorte exposés aux risques de l'inattendu pour produire à chaque fois une nouvelle création.

Pour cette expérience, Jean-Marc Matos s'est adjoint l'aide de Sarah Fdili Alaoui, chorégraphe également et maître de conférence en Interaction Humain-Machine. Une oeuvre qui interroge la place active que les êtres humains peuvent prendre dans l'acte créatif et l'appréhension de leur propre manière de se mouvoir.