Mois de juillet. La chaleur écrasante s'abat sur la cité qui accueille encore cette année un festival. Le va-et-vient des touristes se mêle à la perplexité des autochtones qui ne voient pas d'un très bon oeil l'invasion des " Parisiens ".
Conversations triviales croisant au détour d'une rue propos sophistiqués, considérations pseudo philosophiques car, comme chacun sait, le Festivalier est un intellectuel qui a réponse à tout, et qui, comme Arrias de La Bruyère, " a tout lu, a tout vu "... Pendant que les limonadiers se frottent les mains. Ou pas...