En 1966, Georges Brassens écrit "Le Pluriel", un blâme sur les groupes et la société où il conte sa vision des autres et de la vie: "Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on est plus de quatre on est une bande de cons." La même année, Jean Ferrat écrit en réponse à son ami "En groupe, en ligue, en procession" où il dit "Je n'ai qu'une consolation, c'est qu'on peut être seul et con, et que dans ce cas, on le reste".
Ce spectacle, leurs mots, quelques chansons, est la suite imaginée de cet entretien...