Patricia Allio se passionne pour l'art brut à la manière de Jean Dubuffet : comme " l'expression d'une insurrection ". Elle met en scène une lettre manuscrite que Samuel Daiber adresse à son médecin en 1954.

Sa langue re-rythmée, réinventée, se joue du sens et développe une écriture vocale extraordinaire. Les mots s'entrechoquent, s'inversent, se relient, et se décloisonnent.

Cette liberté de la langue qu'incarne Didier Galas brise notre propre enfermement à l'intérieur du langage.