Déjà repéré dans le cadre du festival Arborescence (ex Seconde Nature) en 2005, Phosphene développe un univers atypique, à la croisée des arts, des rêves et des technologies... Leur album A call invite à un voyage énigmatique contrasté, puisant son énergie dans le rock, les musiques électroniques, expérimentales, et l'énoncé répétitif.

Une esthétique inclassable, qui évoque parfois certains vieux Pink Floyd, Björk ou encore Steve Reich...

Sur scène, 7 musiciens sur fond de vidéos interactives (via Max/MSP) et de sons diffusés en quadriphonie plongent le spectateur au coeur d'un univers de matières sonores et visuelles en mouvement... Onirique, atmosphérique, d'une très belle facture et à l'architecture solide.