La vie de tous les jours dans un atelier de confection, entre 1945 et 1952. Les ouvrières se racontent leurs vies pas toujours faciles. Mais le rire et la joie de vivre reviennent toujours au détour d'une phrase. Hélène et Monsieur Léon sont les patrons d'un atelier de couture où travaillent une majorité de femmes. Ces femmes au caractère bien trempé se chamaillent, pleurent, se consolent avant d'en arriver à rire aux larmes. Et toutes ces ont un point commun et un but : comment vivre après avoir survécu à la guerre.

Hélène et Monsieur Léon sont les patrons d'un atelier de couture où travaillent une majorité de femmes. Ces femmes au caractère bien trempé se chamaillent, pleurent, se consolent avant d'en arriver à rire aux larmes. Simone vit seule avec ses enfants et passe le plus clair de son temps libre à chercher où peut bien se trouver son mari qui n'est jamais revenu de la guerre, puis avoir un acte de décès pour obtenir une pension. Mme Laurence revêche, défend bec et ongles son mari fonctionnaire, que les filles accusent d'avoir peut-être collaboré. Gisèle travaille pour ne pas s'ennuyer avec son petit mari. Mimi, qui n'a pas la langue dans sa poche titille un peu les filles dans un langage haut en couleur et Marie la plus jeune de toute trouvera l'amour, peut être bien dans un autobus ? Toutes ces femmes ont un point commun et un but : comment vivre après avoir survécu à la guerre. Note de l'Auteur : J'écrivis L'Atelier durant cinq années avec la certitude quotidienne que je n'irais pas au bout.