Sa musique nous emmène de 2011, quand elle renonce à une carrière de mathématicienne, jusqu'à sa vie de pianiste de jazz à Paris aujourd'hui. Les influences de sa formation classique l'ont inspiré pour un arrangement de " La Poupée Malade " de Tchaikovsky, et son parcours atypique a fait surgir de nombreuses compositions comme son vécu de " Burn Out " et un hommage joyeux aux " Sisters ". Avec une mise en valeur par Mohamed Ali Ben Gara à la contrebasse et Nicolas Signat à la batterie, ses mélodies et ostinatos sont hypnotiques et à la fois mélancoliques et optimistes.