Pour être informé des prochaines dates pour "Le plongeon suivi de une paire de gifles"
Inscrivez-vous Gratuitement à l'Alerte Email.


Salle
où cet événement eut lieu :
Au Soleil de la Butte, 75018 Paris

Le plongeon suivi de Une paire de Gifles

de Dubillard - Guitry , mis en scène par François Tardi

Au Soleil de la Butte, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

En ce moment dans cette salle :

Dubillard et sa maitrise de l'Absurde, Guitry et son art du Boulevard :une soirée divertissante à souhait.

Le Plongeon, Roland DUBILLARD

Sautera ? Sautera pas ? Voilà le grand dilemme qui déchire les deux personnages de cette petite pièce. Dubillard nous entraîne la tête la première dans un univers totalement dingue et résolument absurde. " Un " et " Deux " - ainsi que l'auteur les a définis – s'affrontent dans une joute verbale où le non-sens et l'absence de logique le disputent à l'énormité et à la loufoquerie. Nous plongeons ainsi avec eux dans un monde où les répliques sans queue ni tête s'amoncellent en une surenchère à la démesure de la folie dubillardienne.

Une Paire de gifles, Sacha GUITRY

Elle ; lui, ou comment un presqu'amant, aux prises avec l'objet de son désir, s'escrime pour se déclarer ouvertement à celle qu'il aime. Tâche d'autant plus ardue lorsque la femme convoitée joue l'autruche et fait tout pour compliquer les choses. De badinage amoureux en manipulation sentimentale, le ton monte. Et les claques tombent, ce qui provoque l'arrivée du mari, complétant ainsi d'une touche ironique le trio délicieusement infernal dans la plus pure tradition du vaudeville.







Pour Tout public

Théâtre de boulevard

Thématique :
Grands Auteurs Classiques

Langue : Français
Durée : 60 minutes soit 01h00





Evénements associés :
Les Hommes sont cons, les Femmes casse-couilles !
Et elles vécurent heureuses
Noces de rouille les débuts de l'embrouille
Le repas des fauves
Maison Close, chez Léonie
Vos 2 Vils
Mon Guitry préféré
L'amour c'est mieux à trois
Le système Ribadier
Si c'était à refaire