Après cinq années en quatuor, Le Skeleton Band redevient trio et vous invite dans une musique où bruissements, chuchotements et hurlements sont convoqués.

"Ce cinquième disque mêle folk, post-rock et blues d'une manière baroque. Il exprime les espaces intérieurs propre à chaque être humain par le son, mais aussi comment ses espaces intérieurs résonnent dans notre rapport au monde extérieur. Nous cherchons la lumière dans l'ombre et inversement. Notre musique est parfois recueillie, voire lugubre pour permettre aux moments soniques, solaires de se révéler avec plus d'intensité".
Un cinquième album qui fait corps avec l'identité et la parole du groupe.

Après une décennie à tourner avec son groupe, Le Skeleton Band, Alex Jacob a eu le désir de créer un projet musical parallèle. Avec Glabre, c'est un besoin d'exploration d'autres sonorités qui s'exprime, c'est aussi une recherche plus personnelle au niveau des émotions. Glabre, c'est un apprentissage, un seppuku de l'âme pour cracher toutes les sensations, pour mieux recoudre les déchirements.

Avec Glabre, à la fin, c'est la rage et l'amour qui gagnent.

Glabre, ce sont des chansons coincées dans la poitrine qui se révèlent. Des thèmes qui ont remonté les sols et qui se sont lovés sur la langue. Des sons qui font du souffle et de la sueur de précieux alliés. Ce sont des chansons qui se nichent dans les ventres. Des thèmes qui furent l'âme des mauvais jours et des mauvais joueurs. Des sons qui s'ébrouent et qui avancent tête baissée. C'est une musique entre post-rock, doom et baroque.

Seul sur scène, avec des boîtes à rythmes, une guitare et sa voix, Glabre se débat, jure, conjure et console.