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Salle
où cet événement eut lieu :
Théâtre Popul'air du Reinitas, 75020 Paris
Le Pranzo, 75002 Paris


- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

Critiques de la presse



Ouest-France
« La moue de Vanessa Paradis, le maintien de guitare de Carla Bruni, la voix de Catherine Frot : tout est parfait chez la jeune imitatrice Anaïs Petit, qui « imite les grands », surtout « les grandes » d'ailleurs issues du monde du cinéma, de la chanson et même de l'humour. »

Spectacles.fr
« Pas plus haute que trois pommes comme Thierry Le Luron, Anaïs Petit est-elle l'imitatrice que la France attend ? Sous ses airs de collégienne, le feu est en elle. Qu'elle s'empare des voix d'Anne Roumanoff ou de Véronique Sanson tout est juste en elle. Elle, qui n'hésite pas à faire dialoguer les générations, retrouvant des voix oubliées ou célébrant, la première, celles qui aujourd'hui envahissent radios et chaînes de télé. A 24 ans, cette Ch'ti, est appelée à accomplir une longue carrière. »

justepourrire-nantes :
« Une imitatrice comme on n'en attendait plus. Et une satiriste aussi. Cette native du Nord n'a pas fini de nous surprendre. A 23 ans, son talent est si prometteur que partout où elle passe, elle laisse des traces durablement. D'Audrey Tautou à Anne Roumanoff, ses imitations sont irrésistibles. Non seulement Anaïs Petit est une imitatrice mais également une satiriste comme la jeune scène féminine en a rarement connu. »

ofqj:
« Originaire d’Arras, cette jeune humoriste talentueuse de 24 ans n’a pas fini de faire parler d’elle. Plus que l’imitation, le jury salue l’interprétation des personnalités qu’elle s’est choisie parmi une palette de chanteurs, d’acteurs, d’humoristes… haute en couleur. Tour à tour, drôle (Audrey Tautou, Vanessa Paradis, Anne Roumanoff), authentique (Carla Bruni, Fanny Ardant), satirique à la Bedos (Brigitte Bardot), bouleversante (Annie Girardot), sensationnelle (Florence Foresti), Anaïs Petit ne laisse pas indifférent. Emporté par le tourbillon de ses personnages, on en arrive à perdre la notion du temps et, à la fin du spectacle, on en sort tout ragaillardi. »