1788, Vienne. Mozart compose sa dernière symphonie qui va marquer l'histoire par ses idées novatrices. Empreinte d'une grande sérénité et d'un haut pouvoir expressif, elle devient rapidement considérée comme l'un des morceaux symphoniques les plus réussis, notamment grâce au final, si bien qu'on la surnomme également "symphonie avec fugue finale".

Composée en à peine deux semaines lors d'une phase de créativité euphorique de Schumann, le déchirant Concerto pour violoncelle est la quintessence de l'âme romantique allemande, où la virtuosité de la soliste Astrig Siranossian se révèle devant un orchestre aux couleurs sombres.

Au préalable, l'Orchestre interprétera la célébrissime ouverture de L'Italienne à Alger, opéra bouffe surréaliste et trépidant, ainsi qu'une pièce de Bushra El-Turk, une des compositrices les plus en vue à l'heure actuelle.

Programme : Gioachino Rossini, L'Italienne à Alger, ouverture/Bushra El-Turk, Mosaic/Robert Schumann, Concerto pour violoncelle/Wolfgang Amadeus Mozart, Symphonie n° 41 "Jupiter".