The Never Ending Orchestra et G.Nova

Never~Ending Orchestra :
Peut-on parler le langage des songes ? Peut-on porter leur musique, tel un flambeau, jusqu'à notre monde ?
Telles sont les questions à la source du Never~Ending Orchestra, qui tente d'y répondre par sa musique narrative, à la fois world, electro et orchestrale, mêlant les cinq continents en une langue imaginaire, portée par les élans des cordes classiques et rythmée par les percussions de ce monde, ou d'un autre.
Par ces mélanges, le Never~Ending décrit au public les paysages merveilleux où se contemplent esprits oniriques, divinités déchues et arbres fantastiques...

G.Nova :
A tout ceux qui pensent que la musique doit s'appuyer sur des mots pour porter les émotions, G.Nova défend la composition purement instrumentale pour le développement de paysages sonores et cinématographiques, invitation au voyage et à l'onirisme relayée en direct par des projections vidéo.
G.Nova puise avant tout ses ambiances dans la culture sonore japonaise, tentant de retrouver le sentiment de mélancolie et de nostalgie qui teinte l'oeuvre de Joe Hisaishi mais aussi la puissance héroïque de Nobuo Uematsu ou de Koiji Kondo, géniaux compositeurs respectifs des BO de Final Fantasy et Zelda. Par extension, le groupe affectionne les compositeurs du fantastique et du merveilleux, Danny Elfmann ou James Newton Howard. C'est ainsi que les concerts de G.Nova ressemblent à des performances de bandes son de film en direct.

On y ajoutera à loisir l'émotion du post-rock, le goût des atmosphères planantes et tortueuses du rock progressif, une touche de noirceur gothique et des échos et rythmes des musiques du monde...