Dans 90°, fable d'inspiration camusienne, les danseurs et musiciens dévoilent la partie immergée de la condition humaine dans ce qu'elle a de plus sincère et de plus hypocrite.
Les corps en révolte et en résistance tissent, avec la mélodie, le miroir de la nature profonde de l'Homme. La destinée s'en mêle. La machine s'emballe et s'entrouvre la boite de Pandore.
Du repentir à la folie, la métamorphose des sentiments reflète la puissance vitale de l'oeuvre.


Pièce pour 5 danseurs et 3 musiciens, compagnie Corps et des Accords précédé de 'Ce qu'on ne dit pas' compagnie Arthur Harel