Un spectacle pour raconter le hiphop des origines : un acte existentiel, une énergie organique, une prise de parole d'une population qu'on ne veut pas entendre. Farid Berki fait partie de la première génération.

D' de Kabal représente la seconde. Les deux partagent cette envie d'une université hip-hop, de raconter l'histoire de ces vies qui se sont écrites autour d'une culture, initialement rejetée.

Les Enfants perdus propose un éclairage singulier sur des pratiques aujourd'hui mondiales, nous permet de remonter le temps et de (re)découvrir le rap, la danse hip hop, le graff, le dj'ing et le beat boxing...