Les face-à-face entre Aurélien et les représentants de l'ordre économique sont autant de coups secs et tranchants sans issue possible pour le simple droit à une conception non-matérialiste de la vie et encore moins pour l'idéalisme.

Les maillons forts de la domination économique enrobent habilement leurs actes de formules hypocrites sur l'altruisme et l'éthique, les discours démagogiques dédouanent, pointant des fautifs virtuels tels que la cotation boursière ou les exigences du marché. Le scalpel qui détruit les hommes ne serait ainsi tenu par personne. Mais où commencent donc la responsabilité et la complicité ?

Dans cette mascarade barbare menée par les experts de nos riches sociétés, le personnage d'Aurélien impose une autre vision de l'humanité qui fait surgir l'interrogation: quelle révolte pacifique adopter ?