Marianne Farouch Oorchestra + Kazadoria + Mamy Wata

De ballades en swings virevoltants, les chansons de Marianne prennent racine à l'Est, ambiances manouches ou yiddish mâtinées de jazz, mais aussi dans le tango, la bossa-nova.

Des mélodies que l'on aime tant fredonner autour de sa voix claire, chaude et mélancolique, ses textes, ces mots égrenés comme autant de petits moments, son regard sur les femmes et les hommes, un amour des êtres parsemé d'humour et de nostalgie, voilà les ingrédients intimes de ses chansons subtiles, douces et piquantes à la fois, à son image.

Kazadoria / chanson (guitare folk, guitare électrique, contrebasse, batterie)
KAZADORIA est né en janvier 2002. Au Sentier des Halles à l’occasion d’une première partie à laquelle Manu Lahaie avait invité Tom Aginski-Philippon. Ils ont été rejoint par Arnaud Gendrel en mai 2003. Leurs oreilles sont aussi bien influencées par Tom Waits, le swing que par Radiohead ou les musiques d'ailleurs. Avec un banjo, deux guitares, une contrebasse et une boîte à sons magiques, ils s’arrêtent sur quelques détails qui font le bordel du monde : un grand-père qui part sans finir ses histoires, les trains de 6h27 du matin, les bars du bout du monde, ceux qui en secret aiment des femmes comme leur maman.

Mamy Wata / chanson du monde (chant, guitare, percussions) Se souvient-on du jour où l'on a entendu pour la première fois chacune des grandes voix d'aujourd’hui ? Dans un festival incertain ou dans une salle improbable à Paris, un jour la rencontre se fait, comme une évidence, avec le public, avec les programmateurs Et ainsi, Mamy Wata vient et vole de festival en festival, porté poa la rumeur, le bouche à oreille, par le plaisir que l'on veut partager, le plaisir de la voix de Déa, la chanteuse originaire de Bangui (Centrafrique). Une voix que l'on oublie pas et que l'on croit avoir toujours entendue. Grave, chaude, sensuelle et porteuse de toutes les histoires, toutes les souffrances.
Déa danse avec sa voix, chante avec son corps.