La relève des dieux par les pitres

Avant de tourner casaque, retournée par un suicide (et par la rencontre d'un forain) pour s'ouvrir à la beauté du rapiécé, de l'absence de noblesse – à la beauté d'Arlequin en somme, qui est une beauté acide, joueuse, déséquilibrée. (Arno Bertina)

Avec trois puces savantes et un marchand d'admiration, cette femme s'invente un corps ouvert aux quatre vents, à l'amour, un corps comique et monstrueux qui sera le poil à gratter d'une époque hygiéniste à tout crin ...

Cette pièce a fait l'objet d'une commande par France Culture, et a été présentée au Festival d'Avignon 2010 dans le cadre des SujetS à Vif, organisés par la SACD, qui proposent des "rencontres imprévues entre interprétations et écritures"

Crédit photo : Arno Bertina