Ces vilaines créatures fantasment sur leur héritage, un coffre précieusement gardé par le grand-père et précipitent le décès de l'aïeul. Le soir de l'enterrement, elles dévalisent le caveau mais il est vide. C'est le début d'une série de péripéties qui viennent perturber le sommeil des deux chasseurs.

La rouerie relevant de l'instinct animal et l'intelligence plus ou moins bornée des vilains alimentent la mécanique de la farce et du burlesque. Dans cet entre-deux du rêve et de la réalité, le spectateur est invité à observer la sournoiserie et la couardise de ces spécimens avec dégoût et délice.