Allain Leprest, à propos de Rougerie : " C'est très bien ce qu'il fait. Peut-être que je ne lui ai pas dit assez comme je l'aimais... " (Paris, mai 2005)

Parole qui se donne ; situations qui se reproduisent, en blessures et sourires ; portraits de gens. A nu. Sans cache-miserere. Le verbe au devant, un corps pour formuler ces univers. Au partage ! Nous chanterons ensemble au final, dans le bordel du monde... TNT de Nantes + commentaires public : " Tout seul, cet extra-terrestre et troubadour des temps modernes nous débite de la parole. On ne sait plus s'il chante, chantonne, parle : tout s'entremêle. Un vrai sens de la rupture. Poète humoriste et grave, quoi qu'il dise ou se taise, nous l'écoutons, le regardons. " (Nantes, Paris, février 2005) Pierre Henri, auteur-comédien, humoriste : " Un jazz verbal, étrange et singulier." (Genève, février 2005)

Jean-Louis Hourdin, metteur en scène et comédien, s'est avoué " étonné de cette chose si personnelle en même temps que si généreuse. Et puis les textes sont très beaux..." (Genève, Février 2004) . Loïc Lantoine, interprète de chansons pas chantées : " Il ne nous prend pas pour des cons avec ses textes. Il les dit pour chacun de nous qui l'écoutons. C'est bien." (Paris, juin 2004) La Rue Kétanou : " Nous, David Rougerie, on aime bien parce qu'il fait rimer la rue ket' avec on parle un peu quéquette... Au début on se demandait : qu'est-ce qu'il veut celui-là ?... Mais en fait, c'est de la vraie chanson. Il est de la famille." (Paris, janvier 2005) Fabienne Pralon, chanteuse et comédienne (voir historique) : " C'est bien ce que je pensais. Un poète et le mot, et bien celui-là qui... Une écriture, une parole dans un corps, singulier qui le porte haut et profond ! " (Paris, janvier 2005)