Comme source d'inspiration, Ko Murobushi choisit certains de ses poèmes comme " Kara ", qu'il met en danse, en musique et en voix, accompagné par la chanteuse Dorothée Munyaneza, et les musiciens Jean-François Pauvros (guitare) et Alain Mahé (musique électronique).

La sonorité centrale de " kara ", renvoie au vide, au corps creux. " Kara " signifie aussi l'origine, et constitue le début d'un autre mot, " karada ", qui veut dire " corps ". L'autre mot-clef du texte est " naku ", qui peut signifier " pleurer ", " crier " ou " chanter ". Autant de pistes à suivre pour goûter les images chorégraphiées et percer l'univers intérieur de cet artiste.

Dans le cadre du Festival June Events.