Vivaldi, Neruda et "Survivre après Hiroshima" (cantate de Maillard)
Par l'orchestre de Lutetia

Au programme : Survivre après Hiroshima de René Maillard, Concerto pour 4 violons en Si mineur RV 580 de Vivaldi, Concerto pour trompette en Mi bémol majeur de Neruda.

Le Saviez-vous?
Le chef Alejandro Sandler et l'Orchestre de Lutetia présentent en création mondiale, Survivre après Hiroshima, l'oeuvre pleine d'espoir de René Maillard sur un poème de Monique Charles. " Cette Cantate est une oeuvre marquante dans laquelle sont rassemblées toutes les qualités du compositeur: sensibilité, richesse de la palette orchestrale, écriture intemporelle, classique mais riche en idées nouvelles" (Denis Havard de la Montagne). C'est l'histoire de Kyoko Hama âgée de 20 ans en 1945, fuyant les bombardements d'Osaka, pour se réfugier à Hiroshima, au matin de l'explosion de la première bombe atomique. "J'ai été tellement ému du récit de Yoko, sa fille, que j'ai décidé d'écrire une Cantate. Cette émotion ne m'a pas quitté de toute la période où je l'ai composée. C'est un message d'espoir, contre la haine et la guerre, un hymne à la vie sur notre terre, où il fait si bon vivre et aimer" (raconte René Maillard).

L'orchestre symphonique de Lutetia créé en 2011 à l'initiative de son chef, Alejandro Sandler, entame sa huitaine série de concerts. Composé de musiciens professionnels, il se produit en France et à l'étranger. A chaque manifestation, la direction musicale cherche à conquérir le public en offrant un répertoire riche et inédit. Sous l'impulsion d'Alejandro Sandler, chef d'orchestre argentin et fondateur, l'ensemble se réunit fréquemment pour de grandes causes humanitaires. Chaque concert permet d'envoyer des instruments de musique en Argentine pour soutenir la cause de la Fondation Allegro Argentina. Cette association sauve les enfants de la rue et de la misère grâce à l'apprentissage de la musique.

Jeanne Monteilhet (mezzo-soprano)
Gilles Mercier (trompette)
Soliste de l'orchestre Philharmonique de Radio France
Emmanuelle Garcia
Marie L'Homme
Noémie Le Borgne et Nathalie Calichiama (violons).