C'est étonnant que Büchner – ce jeune révolutionnaire – s'en remette ainsi aux conventions les plus classiques.
Mais en se jouant de cette pâle comédie, il vous invite doucement à une longue errance dans le monde théâtral : du conte à la luxure, du tragique au grotesque, du sadique à l'onirique, ce sont mille rêves poétiques qui viennent palpiter sous le manteau des conventions et qui vont distiller, comme de plus loin, plus ardemment encore, la soif de révolte.