Qui n'a jamais connu, ne serait-ce que fugacement, l'exclusion attentatoire à sa dignité ? Qui n'en est pas arrivé à envier et haïr ceux qui ont pouvoir sur lui et le tyrannisent en l'acculant aux dépressions nerveuses corridors du suicide ? Qui, faute d'être capable de ne s'en prendre qu'à soi-même, ne s'est pas ravalé au rang des réprouvés ?
Nos " Bonnes " s'acheminent vers leur fatum de " sainte et de criminelle " en proie aux perversions, au Mal dont il est plus rassurant de se détourner au nom d'une vision de la vie qui veut ignorer ces turpitudes mais dont on ne pourra triompher qu'en les ayant reconnues d'abord puis totalement admises ensuite.