Vivaldi élabora dans son Stabat Mater une dramaturgie tout en introspection où les déplorations les plus désespérées trouvent une expression profondément digne. La même puissance expressive est déployée dans les motets entourant ici ce chef-d'oeuvre du répertoire sacré, qui trouvent indiscutablement des interprètes de référence.

Antonio Vivaldi : Stabat Mater RV 621
Air Agitata infido flatu extrait de Juditha Triumphans
Niccolò Jommelli : Air Prigionier che fa ritorno extrait de La Betulia liberata
Nicola Porpora : Motet In procella sine stella
Arcangelo Corelli : Concerto grosso op. 6 n° 4